apprends l'intro de freedom 90 au piano

freedom 90 piano : 

Une originalité de l’époque 

“Freedom” est célèbre pour être le rare clip de l’époque qui ne montrait pas son artiste télégénique à l’écran, utilisant plutôt une série de top-modèles (dont Christy Turlington, Cindy Crawford, Naomi Campbell, Linda Evangelista et Tatjana Patitz) et quelques hommes moins célèbres pour synchroniser les paroles sur les lèvres.

Sonorités et sens du texte

Indépendance et vulnérabilité

La chanson commence avec juste le rythme, puis la basse et les claviers (freedom 90 piano), suivi de la première apparition d’un chant qui reviendra encore et encore : “Je ne te laisserai pas tomber/je ne t’abandonnerai pas”. C’est une chanson d’indépendance mais c’est aussi un aveu de vulnérabilité : une partie de la raison de préserver ton sens artistique et personnel va bien au-delà de tes principes – tu le fais parce que faire autrement peut te rendre désespéré et solitaire.

Mutualité

Pendant ce temps, cette ligne de basse est bonkers funky par endroits, et cette partie de clavier syncopée fera sauter une de tes épaules presque imperceptiblement vers ton oreille, même si tu penses que tu ne danses pas. Les paroles ne sont pas les seules à parler de quelque chose de commun chez les gens. En fait, alors que la chanson passe par plusieurs sections différentes, l’un des rares éléments instrumentaux qui reste constant est un tremblement de tambourin, le plus pop des bruits pop.

Freedom 90 : Une chanson teintée de Gospel

La dette de la chanson envers la musique d’église s’accroît avec le refrain montant de “liberté” entrecoupé d’une répétition silencieuse du texte d’ouverture : “Je ne t’abandonnerai pas”, et ainsi de suite. Ce n’est pas tout ; la chanson continue pendant six minutes et demie propulsives, et il introduit encore de nouvelles pensées alors qu’elle s’éteint. “Perdre le visage maintenant/Je dois vivre” sont les derniers mots que tu peux entendre.

Certaines des performances qui ont été le plus partagées après la mort de Michael étaient ses reprises des ballades de stade les plus émouvantes d’autres artistes qui plaident pour une connexion, en particulier une performance de “Somebody To Love” de Queen et une de “Don’t Let The Sun Go Down On Me” d’Elton John, cette dernière qu’il a interprétée au Live Aid en 1985, alors qu’il était un artiste bien moins sûr de lui. “Freedom ’90”, dans un sens, mélange la supplication et le défi – encore une fois, c’est donnant-donnant.

Le rythme

La partie clavier est très rythmé et très agréable à jouer une fois que tu l’auras bien dans les mains. Rythmiquement, tu auras besoin d’être parfaitement à l’aise avec les figures rythmiques suivantes : Double / croche / double, croche / 2 doubles, quart de soupir / double / croche et quatre doubles croches. En effet, ces figures rythmiques s’enchainent dans cet ordre pour former le pattern rythmique de cette introduction. Ce pattern est également utilisé pour les refrains.

Astuce de travail

Premièrement, travaille très lentement ta main droite car elle fait quasiment tout le boulot. Cherche à bien comprendre ou se positionne chacune de tes notes par rapport au 4 temps de la mesure. Je t’invite d’ailleurs à noter ces temps principaux sur ta partition freedom george michael que tu peux imprimer. 
Deuxièmement, une fois que ta main droite est bien en place, ajoute ta main gauche puis progresse de 2 en 2 au métronome jusqu’a la vitesse du morceau. 
Je te laisse maintenant apprendre freedom 90 piano.